À quoi sert le Growth marketing et comment l’appliquer à de petites entreprises (ou pour des indépendants) ?

À quoi sert le Growth marketing et comment l’appliquer à de petites entreprises (ou pour des indépendants) ?

Le marketing c’est un mot qui fait peur. Donc encore plus de “growth marketing
C’est truffé d’expressions techniques ou d’anglicismes.
Et on imagine souvent, à tort, que c’est réservé aux multinationales alors que les indépendants ont une superbe jeu à tirer là.

Le marketing répond à ces questions simples :

  • Comment se démarquer de tes concurrents ?
  • Comment mettre en place une stratégie de communication efficace ?
  • Comment améliorer l’acquisition de nouveaux clients sur le long terme tout en restant humain ?

Quand j’ai commencé à m’intéresser au marketing je trouvais ça inaccessible, obscur bourré d’anglicismes.
Et l’idée commune veut qu’on pense que ce type de communication sert uniquement pour les grosses sociétés. On visualise une équipe de gens qui réfléchissent toute la journée et remplissent des tableaux. Alors que sincèrement, le marketing c’est une conversation engagée entre un être humain envers un autre humain.

On confond avec la publicité, qui elle, vend du rêve à n’importe qui.

Le vrai problème c’est qu’on imagine le marketing comme une science compliqué fait pour les gros business. On a peur de s’embringuer dans des analyses et de ne pas savoir comment faire. Alors que quand on indépendant on n’a pas beaucoup de chiffres à décortiquer.
On rencontre souvent nos clients en tête-à-tête, on ne les voit pas comme des données. Le marketing nous semble inapproprié pour notre petite structure.

En tant que free-lance j’avais aussi ces croyances.

Et je m’emmêlais les pinceaux avec tous les termes anglo-américains, mais au fur et à mesure j’ai trouvé une réelle efficacité à le pratiquer dans mon petit business à moi.

Il y a notamment la matrice AARRR, idéale à tous niveaux.
Ou encore l’autorépondeur dont je ne peux plus me passer.
Ou même le Branding dont j’ai parlé dans cet épisode
Cela m’apporte énormément tous les jours.
Il y a aussi cette notion d’océan bleu et océan rouge (qu’on verra dans un autre article) fabuleuse façon de savoir comment placer ton offre.

Dans cette interview d’octobre, j’ai eu la chance de discuter avec Mohamed Larbi spécialiste en growth marketing.

Pour nous il a décrypté comment avancer dans ton projet et mieux communiquer.
On a également beaucoup parlé des solutions qui existent, à la portée de tous. Mais surtout on a utilisé beaucoup d’anglicismes.

Et pour une fois l’anglais est notre ami puisque « growth » veut dire grossir, accroître.

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Google ne peut pas traduire mot à mot ces termes, c’est du « franglais » très mauvais.
C’est pourquoi aujourd’hui j’ai écrit cet article qui te donnera, je l’espère, les explications nécessaires.
J’y ajoute aussi des exemples pour que tu puisses appliquer ces méthodes dans ton business.

Growth marketing ou comment les données vont accroître le nombre de clients et les revenus de ta société.

Le Growth marketing examine à la loupe les statistiques (datas web, réseaux sociaux…) afin d’améliorer tes stratégies de communication.
Le fait de connaître tes taux d’ouverture d’email, taux de rebond sur ton site web ou taux d’engagement sur tes réseaux sociaux (voir les définitions plus bas)… va te permettre de savoir ce qui fait réagir ton prospect.

Comment ton futur client se comporte-t-il face à la solution que tu lui proposes ?

Par exemple, tu es pâtissier.
Tes meilleures « données » sont les ventes que tu réalises chaque jour.
Donc tu vas regarder quels gâteaux s’achètent plus que les autres.
Si tu constates que les pâtisseries au chocolat s’écoulent en plus grand nombre que les autres, tu vas en fabriquer davantage.

Double conséquence :
1/tu plairas à ta clientèle en lui fournissant ce qu’elle veut.
2/ ton volume d’affaires augmentera, car il y aura plus de vente.

D’où l’importance de connaître ses « chiffres » de manière à améliorer la satisfaction des personnes qui se tournent vers toi.

C’est pour cela que dans cet article nous allons passer à la loupe des termes marketing et surtout comprendre comment les appliquer.

Growth marketing pour petites structures : c'est l'histoire d'un pâtissier
Growth marketing pour petites structures : c’est l’histoire d’un pâtissier…

Hack marketing pour hacker le cerveau des consommateurs ?

Dès que tu aides les gens et que tu t’intéresses un peu au marketing, un nombre incalculable de personnes t’envoie des pubs sur les « hacks ».

Comment « hacker » une communauté, « hack marketing pour vendre plus »… comme je l’explique dans ce podcast, ce n’est pas le marketing qui fait vendre, mais comment tu t’en sers. « Les techniques de marketing ne servent à rien pour vendre plus (et ce qu’il faut faire à la place) »

Google traduit ça par « pirater », « tousser sans arrêt » ou même « conduire un taxi. 😱

Le “hack” c’est des raccourcis pour aller plus vite.
Des astuces permettant d’obtenir rapidement des résultats.
OK, mais encore faut-il avoir déjà des clients et une bonne dose de données à utiliser, non ?

Pas vraiment, mettre un rappel de l’anniversaire de tes clients dans ton calendrier est un “hack” pour lui porter de l’attention au bon moment. C’est une gentillesse qui marque et qui ne coûte rien.
Le “hack” marketing le plus efficace du monde 😉

le mariage marketing du siècle : le Growth Hacking

Hack marketing et Growth marketing main dans la main, ça donne du Growth Hacking : “piratage de croissance” d’après google.

Aucun pirate à l’horizon, juste un ensemble de techniques croisées du growth et du Hack, souvent illustré par l’acronyme AARRR

  • Acquisition de clients : comment en trouver de nouveau, les attirer…
  •  Action pour convertir tes prospects en utilisateur de ton offre.
  • Rétention pour maintenir le contact avec tes abonnés : newsletter, articles, post sur les réseaux sociaux…
  • Recommandation, transformer tes clients en ambassadeurs.
  • Revenu pour améliorer encore le cycle AARRR et augmenter tes gains.

Chaque période de ce cycle correspond à une ou plusieurs actions à mener qui engendre la phase suivante… et ainsi de suite.

Femme devant un ordinateur pour augmenter ta visibilité sur le net
Augmente ta visibilité sur le net

Le growth marketing c’est très simple c’est vraiment mesurer quelques étapes pour créer une offre que les gens aiment et recommandent.

Reprenons l’exemple du pâtissier
Pour un maximum de data, il est préférable d’être dans un endroit avec beaucoup de passage. Si tu es à l’angle de deux rues qui sont très vivantes BINGO.
Ensuite le l’exemple AARRR .

Mise en situation :
Dans le chaos de la ville
Tu créés une identité unique différenciante
Tu mets une lumière chaude et accueillante
Tu apportes une âme dans ton quartier
Tu diffuses une bonne odeur de pain chaud et de viennoiseries

Sur ta porte tu utilises aussi des biais cognitifs et biais sociaux pour te faire valoir (prix d’excellence consommateur) (médaille de meilleur ouvrier) (articles de presse vantant tes mérites).

À partir de là tu as donné confiance au chaland pour pousser la porte de ton étal.

Acquisition :

L’expérience client a été travaillée de façon à être irréprochable
Le consommateur entre d’un côté et sort de l’autre
Tes vendeuses présentent bien, gentilles, aiment renseigner et sont accueillantes
Quand le client arrive à la caisse sans trop attendre et en ayant acheté plus que prévu, il a droit à une carte de fidélité.

Rétention :
Tu vas donner au client un pourcentage et/ou des attentions différentes toute l’année
Comme il aime ce genre d’expérience il en parle à ses voisins, amis, famille…

Revenus
La queue et la renommée de ta boulangerie explosent. Tu peux donc recruter pour améliorer le service et commander en plus grosse quantité les matières premières pour réduire les coûts.
Tu peux même créer une baguette signature que tu peux revendre deux fois le prix (revenus)

Growth marketing pour petites structures : une histoire de branding
Growth marketing pour petites structures : une histoire de branding

Branding ou travailler sur toi pour te rendre unique.

Le Branding n’est pas seulement pour les grandes marques.
Encore un terme anglais, ultra-important pour un indépendant. C’est tout simplement l’art de se faire reconnaître.

Je traite là plus de Personnal Branding : parler de soi et de ses qualités, démontrer son savoir-faire et ses compétences.

Comment te mettre en avant par rapport à tes concurrents ?
Sortir du lot ?
Devenir repérable ?

C’est expliquer ton expertise et obtenir des recommandations.
Prouver que tu es le meilleur pour répondre aux besoins de tes clients.

Pour reprendre l’exemple du pâtissier, s’il est reconnu comme spécialiste du chocolat, il va peut-être travailler différents cacaos, concevoir une façade de magasin marron ou sombre, porter une tenue plus en adéquation avec son savoir-faire qu’un simple tablier blanc…
Il va “évoquer” le chocolat dans son style, dans ses vitrines, dans ces gâteux… il va penser un univers entier.

Si tu es pâtissier, le branding va s’exprimer dans l’identité du mieux, la gamme et la qualité de tes produits le service et l’uniforme de tes employées et tout le design que tu auras mis autour pour rendre magique l’idée d’acheter du pain.

No Code ou l’avènement de la démocratisation des outils numériques.

Sans code, il est donc possible de réaliser son site web ou des applications, voire même de concevoir des automatisations.

Les systèmes no Code aujourd’hui permettent de :

  •  créer son site web, sans savoir développer ou connaître le HTML.
  •  envoyer des e-mails à 1000 personnes à la fois sans être bloqué dans les spams
  •  imaginer des applications pour vos offres.
  •  devenir plus productif grâce à l’automatisation de certaines tâches
  •  déployer un Chatbot pour engager des discussions avec ses internautes
  •  améliorer les process sur de gros projets… ou des plus petits comme la publication automatisée sur les réseaux sociaux
  •  …

Jeu vidéo, design, intelligence artificielle… Le No Code n’a plus vraiment de limite.

Growth marketing pour petites structures grace aux réseaux sociaux
Growth marketing pour petites structures grace aux réseaux sociaux

Comment garder un contact fort avec tes clients : la newsletter grâce à l’autorépondeur bien sûr !

Comme je l’ai dit plus haut l’autorépondeur est un outil magique pour moi.
Il existe plusieurs versions no code.
À la base ces logiciels ont été conçus pour répondre automatiquement aux messages électroniques. Aujourd’hui il expédie des e-mails en masse.

Comme tu le sais si tu mets plus de 10 adresses en copie de ton mail tu vas automatiquement tomber dans les spams. L’autorépondeur, cet outil magique qui te permet d’envoyer à des milliers de personnes un mail en un seul envoi.
Garder le contact avec tes clients grâce aux newsletters (AAR Rétention R).

Un courriel c’est comme un coup de fil, c’est quelque chose qui arrive dans ta sphère intime. Tu es le seul individu à ouvrir tes mails, tu ne le partages avec personne. Tu peux donc toucher les gens directement, sans les aléas des réseaux sociaux qui proposent, ou non, ton post.
Aujourd’hui tu peux même personnaliser tous les messages que tu envoies.

L’autorépondeur permet de maintenir le contact avec tes clients. Leur donner des nouvelles, leur porter de petites attentions ou les renseigner sur ce que tu proposes.

Ce sont des applications très abordables et très facilement manipulables pour n’importe qui. Ça permet de faire passer des informations qui seront lues et vues.

Si tu ne l’as pas encore compris, je te conseille vivement d’utiliser un autorépondeur pour garder une correspondance régulière avec tes clients.

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Gérer tes relations clients facilement grâce à un CRM (Customer Relationship Management)

Dans certaines entreprises on appelle ça de la gestion de relation client.
Qu’est-ce que c’est en pratique ?
Un outil !

Tu vas mettre dans cet système (il existe plusieurs applications sur le marché) toutes les interactions que tu as avec tes clients. C’est une collecte de données ET un outil marketing.
Attention au RGPD quand même. Toutes les informations sur ton contact ne doivent pas être notifiées.

Les grandes sociétés utilisent beaucoup les CRM.
En quoi cela va-t-il te servir, toi l’indépendant ou petite structure ?

Sais-tu que tu possèdes déjà un CRM ? Activable instantanément, car tu l’as sur toi en permanence 😁
Si si je te jure, tu as une base de données, dans ta poche ou dans ton sac.
Ça s’appelle un smartphone.

Là ou avant on rentrait juste un nom et un numéro de téléphone, aujourd’hui on rajoute la date de naissance, l’adresse, voir plusieurs adresses, le mail…
Et surtout des champs personnalisés pour relever toutes les informations importantes.

C’est sûrement le plus petit CRM au monde, indispensable à toute vie sociale… et professionnelle.

Comment utilises-tu ce mini carnet de relation client ?

Réponds moi par là

Quel est le meilleur moyen de lancer ta société : arrête de penser et agis !

Quel est le meilleur moyen de lancer ta société : arrête de penser et agis !

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Mindest d’entrepreneur : le pouvoir de la pratique face a la pensée.

Nous poursuivons tous des objectifs que nous voulons atteindre dans notre vie.
On peut souhaiter apprendre une nouvelle langue, manger plus sainement, perdre du poids ou lancer sa société.

On voit fréquemment l’écart entre notre situation actuelle et celle que l’on voudrait obtenir.
Et on s’imagine souvent que c’est un manque de connaissances.

C’est pourquoi on va lire des articles, acheter des formations, des livres qui vont nous parler de ce que l’on désire devenir.
Nous supposons que si nous connaissions la meilleure stratégie, ce sera plus facile de décrocher de meilleurs résultats. Et nous assimilons un meilleur résultat à de nouveaux savoirs.

Ce que je réalise cependant c’est que de nouvelles connaissances n’entraînent pas forcément de meilleures situations. En fait apprendre quelque chose peut aussi être une perte de temps si ton but est de progresser.

Dans son livre « the practicing mind » (l’esprit pratique) Thomas Sterner explique la différence qu’il voit entre la pratique et l’apprentissage.

« Lorsque nous pratiquons quelque chose,
nous sommes impliqués dans la répétition délibérée d’un processus avec l’intention d’atteindre un objectif spécifique.
Les mots “délibéré” et “intentions” sont essentiels ici,
car ils définissent la différence entre pratiquer activement
quelque chose et l’apprendre passivement. »

Pour nous, comprendre ou mettre en pratique quelque chose de nouveau est perçue comme similaire. Mais Thomas Sterner démontre que la compréhension ou la répétition d’un processus ne mène pas au même point.

Penser ou agir : deux méthodes qui donnent des résultats profondément opposés.

Disons que mon but est de devenir plus dynamique, plus sportive. Je peux chercher de nombreux bouquins ou directives sur la toile. On en a à foison.
Néanmoins si je ne passe pas à l’entraînement je ne serai jamais plus endurante et prête à gravir des sommets.
La pratique va me permettre d’acquérir la musculation nécessaire.

Si mon objectif est de développer ma société, je peux trouver des dizaines d’articles ou de livres qui vont me donner des indications :

  • les habitudes des gens qui réussissent
  • les meilleurs morning routine
  • comment lancer son entreprise sans prise de tête

Tous ces articles, vidéo, bouquins me font rêver… mais vont-ils véritablement m’apprendre à me lancer ?

Tout cela ne va pas me faire passer à l’action
Tout cela ne va pas m’aider à lancer concrètement ma société.

J’en saurai plus sur mes mentors ou sur les personnes qui réussissent, mais cela ne s’appliquera peut-être pas à moi.

Si ton objectif est d’écrire un livre, tu peux regarder « la grande librairie » toutes les semaines. Néanmoins, Stéphane King s’enferme dans son bureau tous les matins et ne ressort que lorsqu’il a rédigé cinq ou six pages.
Un immense auteur comme lui passe ses matinées à pondre son futur best-seller.

C’est une habitude qu’il a établie.
C’est un process qu’il a mis en place.

Ta façon de devenir auteur va dépendre du temps que tu vas utiliser à écrire et aussi à publier.
La lecture, le visionnage… créent des connaissances, mais reste assez passif.

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La pratique active amène des compétences.

Examinons trois autres raisons de privilégier l’apprentissage actif à la connaissance passive.

Si tu veux agir, va voir par là.

1/ L’accumulation de savoirs peut cacher la procrastination.

Dans de nombreux cas, les idées que nous piochons à droite à gauche sont un moyen détourner d’éviter d’aller vers ses objectifs. Nous les disons importants pour nous, mais nous préférons amasser de la connaissance dessus.

Et pour la question d’une langue étrangère, comment passer à l’action ?
On peut cumuler tous les dictionnaires et les livres. Ce n’est pas pour autant qu’on la parlera.
On voit bien que la plupart des sociétés qui aujourd’hui proposent d’apprendre un nouveau langage vont le faire via des applications qui nous forcent à pratiquer : discussion avec son smartphone, quizz à remplir…
Et nous recevons des rappels pour passer à l’action. Ils espèrent nous emmener le plus loin possible dans la réalisation concrète de notre but.
Néanmoins, si on n’en fait pas une habitude, au bout d’une semaine, un mois, on arrête les efforts.

On perd aussi beaucoup de temps à vouloir trouver la meilleure méthode au monde.

Nous commettons une erreur : être en mouvement. Cela nous donne l’impression d’avancer alors que nous ne faisons que tourner en rond.
Passons à l’action.
Cherche le must, lire tous les blogs sur le sujet… cela n’est-il pas une forme de procrastination ? Repousser pour quand « on saura tout » ?

2/ la pratique est un apprentissage, mais l’apprentissage n’est pas nécessairement réalisable et concret.

L’accumulation de connaissances n’est pas toujours très pratico-pratique. Bien que l’on découvre de nouvelles méthodes, on ne passe pas forcément à la phase applicative.
L’approche active est l’une des meilleures formes de pédagogie. En effet quand nous commettons des erreurs nous les retenons plus facilement que si on nous les avait dictées.
Je me souviens très bien comment j’ai perdu toute une vidéo de podcast lors de mes premiers montages.
« Ça me servira de leçon » et effectivement je me rappelle quelle est la manipulation à ne surtout pas faire.
La pratique va donc renforcer mes connaissances.

Tu peux regarder des Youtubeurs ou potasser un super livre sur le sujet ça demeurera des connaissances improductives.
Lance-toi réellement sinon, tout ce que tu as consulté ne sera te pas utile.

On a déjà tous lu un article ou vu une vidéo sur une catastrophe naturelle si derrière on ne passe pas à l’action en envoyant un don ça subsiste une intention, ça reste improductif.

3/ la pratique permet de concentrer notre énergie sur le processus.

« Le progrès est le résultat naturel de la concentration sur le processus de toute action »
Thomas Steiner

Notre vie actuelle est la conséquence de nos habitudes et de nos croyances (éducatives, religieuses…).
Si tu refais toujours les mêmes choses ne t’attends pas à un résultat différent.

Va voir le Guide de l’entrepreneur organisé :

Les gens pensent que se concentrer signifie dire oui aux choses sur lesquelles vous devez vous concentrer.
Mais  a n’est pas du tout ce que cela signifie.
Cela signifie dire non aux centaines d’autres bonnes id es qu’il y a.
Il faut choisir avec soin.

Steve Jobs

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Lorsqu’on se concentre sur l’adoption de meilleurs comportements jour après jour, le progrès est continu et ta conclusion logique.

Plutôt que de te forcer à travailler huit heures d’affilée sur un projet qui est long, pourquoi ne pas le diviser en petites étapes que tu feras sur plusieurs journées ?

1/ faire paraître moins imposant un sujet et donc le rendre plus facile à réaliser

2/ concevoir une habitude qui va pouvoir se répéter, se mettre dans l’ambiance plus rapidement.

3/ à force de pratiquer, tu créeras un process pour aller de plus en plus vite.

Par exemple un Podcast (son + vidéo) me prenait plus d’une journée. Maintenant entre l’écriture, l’enregistrement, le montage et la diffusion j’arrive à ne dépasser 4 heures.
Et je pense que le résultat est bien meilleur que ce que je produisais au tout début, non ?

Répéter les actions est une façon plus qu’évidente de réussir.

Un Tennisman va renvoyer la balle des millions de fois avant de devenir le roi de Rolland Garos. Atteindre le geste parfait nécessite des heures d’entraînement.
Reproduire le même geste, avec la même force…

Autant c’est quelque chose qui nous paraît naturel pour les métiers manuels, autant on ne l’applique pas systématiquement pour les professions dites «  intellectuelles ». Pourtant la mise en pratique est la meilleure moyen d’arriver à ses fins.

L’apprentissage passif est-il donc inutile ?

Bien sûr que non étudier pour le plaisir de comprendre est toujours intéressant. De plus l’absorption de nouvelles informations va nous aider à prendre des décisions plus rapidement par la suite.
Lire des livres, des blogs, parcourir des vidéos est toujours profitable.

Par contre, passer à l’action nous fera grandir.
Nous nous cachons souvent derrière notre manque de connaissances pour ne pas agir. C’est notre meilleure excuse pour retarder un choix, repousser notre décision.
Or plus on passe du temps à réaliser les choses plus on apprend sur la façon de gérer sa société.

Fait,
agis,
passe à l’action,
la perfection n’est pas de ce monde (ou plutôt si 😉

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3 points essentiels qui vont te permettre d’évaluer les besoins de tes clients cibles

3 points essentiels qui vont te permettre d’évaluer les besoins de tes clients cibles

Qu’est-ce que le marketing de contenu et quel est son arme secrète ?

Le marketing de contenu c’est le fait de publier beaucoup de texte, d’image…

Forcément qui fait sens par rapport à ton persona. Du contenu qui va le toucher et qui va atteindre ton public cible.
Voir l’article à ce sujet.

C’est presque un cliché en marketing de dire de connaître ses clients idéaux.

La première chose est de faire une étude qui va cibler les besoins de ton client. Tu as beau avoir des données démographiques sur ton client, tu ne connais pas forcément les problèmes qui le frappent.

Les Hypnothérapeutes qui travaillent sur l’arrêt du tabac le savent très bien.
Aucun client n’a le même problème.
Ils veulent abandonner la cigarette, mais les motifs du fumeur sont nombreux et divers.

Si tu veux toucher cette personne, tu dois parler des causes qui l’empêchent d’arrêter, de ses cauchemars, de ses peurs, de sa frustration de ne pas réussir à arrêter.
Peu importe de savoir s’il a 20, 40, ou 60 ans, si c’est un homme ou une femme.

Ce qui compte c’est de t’adresser directement à lui dans ton contenu.

Parle-lui de ses problèmes,
exprime son besoin mieux que lui,
imagine ses désirs.
Dis-lui de ce qu’il va obtenir.

Pas encore de client avec qui échanger ?
Si tu n’as pas encore de clients, pas facile de connaître ces points-là.
Quelles sont les pensées des gens qui pourraient venir vers toi ?

Il y a plusieurs techniques à mettre en place.

regarder dans la même direction et comprendre les besoins du client

Regarder dans la même direction et comprendre les besoins du client

1/ Créer une enquête qualitative.

Il est facile de concevoir des sondages quantitatifs. Mesurer le sentiment général, les besoins au niveau de la population et les comparer.

Il est un peu plus compliqué d’établir des études qualitatives et de comprendre véritablement ce que ressentent nos clients.

Comment savoir les mots et les phrases que les gens utilisent ?
Créer un formulaire avec des questions ouvertes.

Exemple d’interrogations :

  • Avez-vous déjà essayé de faire ___ ou ___ ? Dites-moi comment ça s’est passé.
  • Quel est votre plus grand défi pour réaliser ___ ou ___ ? J’aimerais connaître les détails.
  • Pourquoi voulez-vous être ___ ou ___ ? Racontez-moi votre histoire.

Voilà trois sujets totalement ouvertes que tu peux aborder pour faire une enquête d’audience.

Chaque question est extrêmement informelle. £Tu peux également inviter les gens que tu touches à partager ce formulaire. Plus tu as d’explication mieux tu vas cerner les véritables besoins de ton audience cible.
Tu vas avoir des réponses longues et même tout le vocabulaire que tes futurs clients utilisent pour parler de ton service ou de ta prestation.

 

Comprendre les besoins du client, ses reelles attentes

Livre ou connaissance sur les plantes ?
Comprendre les besoins du client, ses réelles attentes.

2/ entretiens en tête-à-tête avec tes clients

En ayant face à toi une personne authentique, il est peut-être plus facile de comprendre ses problèmes réels. De’avoir une vision claires de ses besoins brûlants .
Pourquoi a-t-elle fait appel à toi ?

Parfois les personnes ne sont pas disposées à partager ce genre de difficulté.
Parfois ils n’ont jamais réussi à mettre des mots sur leurs douleurs.
Il est donc compliqué d’encourager les gens à aller expliquer cela.

Dans un entretien individuel, tu peux faire preuve d’empathie. Laisser les gens dire ce qu’ils veulent, leur permettre de s’ouvrir.
Tu peux encore aller plus en profondeur dans le besoin concret de tes clients.
Comprendre réellement comment tu peux les aider.

Pour décrocher ces entretiens individuels, tu peux envoyer un e-mail à ta liste. Tu peux encourager des internautes, tes fans, à te contacter via les réseaux sociaux.

Tu peux aussi tout simplement demander à ton entourage.
Si tu as déjà des clients, c’est même mieux.

Programme d’accompagnement pour booster sa société

Que faire si tu n’as aucun client et que tu n’as pas commencé ton activité ?

Amazon et la Fnac sont tes amis.

Tu n’as pas encore de liste de diffusion ?
Personne ne te suit sur les réseaux sociaux ?
Tu as du mal à obtenir des résultats d’enquête ?
Tu débutes et tu ne sais pas comment convaincre les gens de t’expliquer leurs problèmes.

Tu vas vite remarquer qu’en ligne, les internautes adorent se confier. Trouve un endroit où ils vont parler d’eux.
Forums ou groupes Facebook.
Et plus inattendu : les avis sous les livres Amazon ou la Fnac.

Il te suffit de chercher les livres qui traitent des sujets proches de ce que tu proposes.
Des bouquins qui sont généralement lus par ton public.
Et dans ses pages de livres tu vas aller aux commentaires et regarder comment tel livre a pu aider ses lecteurs.

Les gens vont se confier sur ce que ce bouquin leur a apporté.
Tu trouveras dans ces avis les mots que tes clients emploient.
Les problèmes auxquelles ils sont confrontés.
Les besoins qu’il recherche et qu’ils attendent.
Leurs désirs inassouvis et leurs frustrations.

Les critiques sur Amazon sont une mine d’informations.

Mots de clients cibles - 1
Comment trouver les mots de mes clients cibles - 3

Comment trouver les mots pour parler à ton client cible ?

Tu as toutes les cartes en mains pour trouver les mots qui vont faire mouche. Ceux dans lesquels ton persona va se retrouver.

À toi de les convaincre.

 

Si tu veux un coup de pouce, prends rendez-vous ici et on en parle.

5 astuces de référencement à utiliser immédiatement pour ton site Web

5 astuces de référencement à utiliser immédiatement pour ton site Web

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Quand on lance un site Web, on espère être vu et reconnu assez rapidement.
Malheureusement, les résultats de la recherche organique ne sont pas immédiats.

Il faut souvent mettre en place différentes méthodes -et d’efforts- pour un référencement au top.
Le SEO est une question de patience, mais aussi de bons outils.
Dans cet article, on va parler de cinq actions à faire au plus vite pour ton site Web.

1/ utiliser les outils de la suite Google

Si tu n’as pas encore de compte chez Google, fais-le immédiatement.
Il te propose gratuitement deux outils essentiels. Le premier : Google Analytics.
Il présente toutes les informations de la navigation sur ton site, ce qui peut guider ta stratégie de référencement.
Il va te permettre de voir où sont les personnes qui arrivent sur ton site, comment elles viennent et qui sont-elles.
Des données quantitatives primordiales. Deuxième dispositif indispensable : la Google Search console.
Grâce à la Search Console tu peux retrouver des indications sur le trafic, mais aussi sur tes mots-clés et savoir si ton site contient des erreurs.
Même si ton site Web n’est pas encore au top de sa forme, mais ses outils en place ils te seront utiles.
Tu pourras faire la différence entre les visiteurs qui viennent de site Web, de tes courriels, ou découvrir des choses étonnantes.

accompagnement Booster numérique pour lancer ou relancer sa société

Bienvenue sur la Google Search Console

2/ optimise ta SERP

La SERP, la Search Engine Responses Page, est la page de réponse des moteurs de recherche. Par exemple, tu tapes un mot-clé dans la barre de recherche.
Tu valides
Et tu vois apparaître une liste de réponses correspondant à ta requête. C’est ça le résultat de la SERP. Plus de 90 % des gens utilisent Google comme moteur de recherche, donc autant lui faire plaisir.
Quand tu es sur la SERP, que tu as tapé ton mot clé, tu peux aller tout en bas et observer les « recherches associées ».
Ces résultats vont te donner une idée de ce que le public désire trouver par rapport à ce mot-clé.
À partir de là tu peux adapter ton contenu pour répondre à ses « recherches associées ». Tu peux remarquer qu’il est fréquent que les gens écrivent des questions dans la barre de recherche (Google, Qwant, Ecosia, …). Cela montre à quel point les Titres de tes articles, contenus… au format « question » sont mieux référencés que des ceux comportant des mots-clés de seulement deux ou trois occurrences.
[Voir le papier et le podcast sur les mots-clés de longue traîne]

Si tu trouves les mêmes questions que se posent les internautes sur ce que tu proposes,
Et que tu les inclus dans ton site, le résultat de recherche sera fantastique.
Comme toujours je te dis de te mettre dans la peau de ton client :
  • Quel vocabulaire utilise-t-il ?
  • Quel désir a-t-il en tête ?
  • Comment voit-il ton métier ?
Toutes ces interrogations font partie des choses qu’il va vouloir connaître de toi, avant de te faire confiance et de conclure un achat. En trouvant leur questionnement, tu peux ajouter du contenu pertinent.

accompagnement Booster numérique pour lancer ou relancer sa société

Tout en bas de la page de la première page de recherche tu as les “recherches associées”

3/ les liens internes (et externes)

Quand on construit un site Web, on parle toujours de faire des liens externes entrant ou sortant.
Un lien externe c’est un lien qui point vers un site « extérieur » : un partenaire, un client satisfait, un fournisseur… Une sorte d’échange de bons procédés qui amène du référencement à tout le monde. Un lien interne est un lien qui renvoie sur une page de ton propre site.
Ce genre d’hyperlien d’une page à l’autre est souvent négligé.
Ce qui est fort dommage, car ils sont très puissants pour le SEO (Search Engine Optimisation : Optimisation pour les moteurs de recherhces).
En effet Google adore voir qu’il y a beaucoup de liens, et que tu as compris que tu devais garder captifs tes internautes.

Tu saisis maintenant pourquoi, si tu fais un blog, le maillage interne de ton site doit permettre à l’internaute de naviguer.
Facebook déteste laisser sortir ses adeptes (d’où sa guéguerre avec YouTube).
Il adore les liens qui vont vers des groupes, des personnes… C’est pour cela qu’il te fait sans cesse des suggestions.
Mark Zuckerberg a créé ce réseau social pour rester captif. Pour ton site c’est la même chose. Tu vas essayer de garder le plus longtemps possibles accros les internautes qui viennent le visiter.
D’une part tu vas permettre à tes clients potentiels de connaître ce que tu fais. D’autre part tu vas montrer à Google que ton site est passionnant puisque les gens restent longuement et parcourt beaucoup de pages. Imagine que tu vends des T-shirts pour homme et pour femmes. Il est très intéressant que du côté du catalogue homme on puisse accéder au catalogue femme et inversement.
Même si tu ne trouves pas ça très judicieux. Si tu offres plusieurs prestations, met toujours un lien cliquable ou un bouton pour parvenir au service suivant.
Ne laisse jamais ton visiteur coincé à la fin d’une page, propose-lui constamment d’aller plus loin.

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4/ attention à l’arborescence de site

L’architecture d’un site est essentielle pour ton référencement.
De nos jours on dit qu’un internaute qui arrive sur une page prend une décision en moins de 10 secondes. Tu comprends toute l’importance de Google Analytics.
Quand tu sais d’où viennent tes internautes et ce qu’ils viennent chercher chez toi, tu peux travailler ce qu’ils vont y trouver.
En analysant tes metrics, tu vas pouvoir leur donner, en moins de 10 secondes ce qu’ils veulent. On sait aussi qu’il faut moins de trois clics pour arriver à ce qu’on pense trouver.
Ne déçois pas ton futur client. De plus, nous avons tellement l’habitude d’obtenir ce que l’on souhaite rapidement depuis que le zapping existe, qu’on s’attend à la même chose sur un site Web. Si ce que recherche ton visiteur est au 18e ou 521e clic, jamais il ne l’atteindra.
C’est pour ça que le maillage interne d’un site est très important. Pense toujours à faciliter la recherche de l’internaute.
Sachant que le module recherhce (avec la loupe) n’est pas adapté pour un site Web, car il peut renvoyer sur tout et n’importe quoi.
Toi aussi tu as déjà obtenu 158 pages de réponses ? Est-ce bien raisonnable ?
Ton site doit être simple, commode à utiliser, donner instantanément la réponse à celui qui vient la chercher.
Dans le Web on appelle ça enlever des frictions.
C’est-à-dire éviter que l’internaute ait à se trouver sans réponses ou à chercher trop longtemps une solution. Aujourd’hui il existe des milliers d’autres réponses à son problème sur le Web.
Pourquoi perdrait-il du temps sur ton site ?
S’il ne trouve pas sa réponse immédiatement il ira voir ailleurs.
Simplifie ton site.

accompagnement Booster numérique pour lancer ou relancer sa société

Nombres de résultats sur Google

5/ personne ne va jamais en 2e page de recherche sur Google (ou Qwant, Yahoo, Bing, Ecosia,…)

Quand tu fais une requête, Google t’annonce fièrement combien il y a de résultats.
Sauf que toi, ce qui t’intéresse, c’est uniquement les résultats de la première page.
Quand on arrive en bas de la page, le taux de clics est quasiment à zéro. Le but est donc de faire passer ton site en page 1 de la SERP. Pour cela tu as toutes les solutions vues précédemment et aussi la transformation d’URL.
Tu peux ajouter autant de pages que tu veux sur ton site avec une URL qui contient des mots-clés puissants. C’est là où le blog peut te rapporter gros : tu peux créer autant d’articles (bien ciblés) que tu le souhaites. Quand un internaute ne trouve pas sa réponse sur la page numéro un de la SERP il va modifier sa recherche. (et tu fais pareil) C’est à ce moment-là que Google Trends rentre en jeu. Cet autre outil gratuit va te permettre de découvrir quel mot est le plus convoité dans le monde, en France ou dans ta région. En mixant ton Google Analytics, la Google Search Console et Google Trends, tu peux voir ce que les utilisateurs sollicitent le plus. Et donc créer un, ou plusieurs, articles spécialement conçus pour remonter en première page de la SERP. Ce mot-clé de longue traîne, tu pourras l’utiliser dans ton sujet, dans tes titres H1, mais aussi directement dans ton URL (comme le propose WordPress). Attention, si tu essayes de te classer sur un terme qui à un volume de recherche très élevé, ça devient vite très compliqué.
Souvent il faut aller plutôt vers des quantités de recherche moyenne ou faible pour attirer l’attention.
Pense toujours à écouter ton public, parler d’eux et non pas à leur proposer tes services à tout prix. Quand les gens sont sur Google, ils recherchent une réponse à leurs questions.
 

Trois points à retenir pour un référencement naturel rapide

Les trois choses les plus importantes à retenir sont donc :
  • Créer ton compte Google Search console Google Analytics et Google trends
  • Revois l’architecture de ton site. Promeus les pages les plus importantes pour tes visiteurs et pense au maillage interne.
  • Réponds aux questions que les internautes se posent et qui concernent ton activité.

J’espère que cet article te permettra de faire progresser ton site jusqu’à la page 1 de la SERP.

Comment concevoir ton Persona marketing (et comment l’utiliser pour viser ce fameux client idéal) ?

Comment concevoir ton Persona marketing (et comment l’utiliser pour viser ce fameux client idéal) ?

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Dans cet article j’ai expliqué pourquoi établir un Persona était essentiel.

Ici, nous allons parler de la méthode pour créer son client cible.

Aujourd’hui, environ 41 % de spécialistes du marketing B2B (business-to-business) et 38 % seulement des spécialistes de marketing en BtoC (business to Customer/consommateur) accordent une priorité à la compréhension du public.
Pour moi, ces chiffres sont aberrants, car pour mieux communiquer on doit à tout prix connaître à qui on s’adresse.

Comment créer sa fiche de client idéal.

Oui je parle d’une sorte de carte d’identité, car personnellement je leur élabore un CV.
Je vais sur canva, je prends un CV et j’établis trois types de clients cibles.
Ceux que je vise via cet article, via mes podcasts ou mes vidéos.

Mieux je connais les personnes qui vont acheter mes prestations, mieux je peux communiquer avec elles.
Je peux parler le même langage qu’elles (puisque j’ai choisi prioritairement des femmes).
Cela ne m’empêche pas d’accompagner des hommes avec la formule Booster©.

Il y a fréquemment cette incompréhension entre le client idéal et le fait d’avoir des personnes réelles.
Régulièrement, je croise des clients qui ne veulent pas prendre de « clients cibles », car ils ont peur de restreindre leurs prospects.

Quand Apple fait une pub pour son nouveau téléphone, que les gens dansent dans la rue, ou font de magnifiques vidéos sur la grand-mère… Est-ce que ça reflète TOUS les utilisateurs de iPhone ?
Bien sûr que non, Apple s’appuie là sur des valeurs de liberté.

Des vertus sur lesquelles beaucoup beaucoup beaucoup de personnes peuvent se retrouver.

Ce n’est pas parce que tu te niches dans une certaine catégorie de prestations qu’on ne va pas te demander autre chose.

Donc, concevoir ses fiches pour tes Persona est essentiel à la compréhension de ton client.

Comme dit dans un autre article : mieux tu connais tes futurs clients, mieux tu peux leur parler et répondre à leurs besoins.

À quoi sert le Persona en marketing ce fameux client cible

En pratique, comment créer une identité de client cible ?

Déjà tu as commencé à étudier qui ils étaient : âge, sexe, emplacement géographique, revenu, etc.

Tu peux utiliser, comme moi, une fiche de CV.
Au lieu de « formation », tu vas mettre « envie » ou « frustration ».
Parce que ce sont les désirs de ton client qui vont le pousser à acheter.
C’est parce qu’il est frustré de ne pas réussir à le faire qu’il va acheter ton produit ou ta prestation.

Petit aparté il y a un livre qui s’appelle « la liste de mes envies » de Grégoire Delacourt.
Ce livre explique bien la différence entre les envies et les besoins et je l’ai trouvé génial. (il y a aussi un film qui est sorti)

Regarde quelles sont les ambitions de tes clients, mais regarde aussi quels sont ses contraintes.

Imagine aussi quelle solution ton acheteur idéal a mise en place pour combler ses désirs et ses insatisfactions.

Là je te renvoie sur le podcast qui parle des cinq types de consommateurs d’Eugène Schwartz. C’est-à-dire que si ton client est en phase un ou deux, il sait qu’il a des frustrations, mais ne recherche pas à les combler.

Donc, attirer des clients qui souhaitent trouver une façon d’arriver à leurs fins ET ont les moyens de payer.
Oui, je sais, ça peut paraître dur pour certains.

Dans le CV (fiche Persona) que tu es en train de faire, à la place de « parcours professionnel », par exemple, essaye d’imaginer comment ton client idéal se procure des informations.

  • Va-t-il sur les réseaux sociaux ?
  • Privilégie-t-il le bouche-à-oreille ?
  • Est-ce qu’il a besoin d’être rassuré ou est-il prêt à consommer immédiatement ?
  • Comment préfère-t-il accéder à tes prestations ?
  • Y a-t-il des formats qu’il utilisera plus souvent : vidéo, blog, réseaux sociaux…
  • Consomme-t-il du contenu via un appareil mobile ou un ordinateur ?
  • Comment obtient-il la plupart de ses infos ? Pendant qu’il travaille ou lorsqu’il est à la maison ou avec des amis ?

Ce genre de détails a beaucoup d’importance.

Tu peux aussi étudier la quantité d’informations que cette personne aimerait obtenir, ou est capable de recevoir, pour mesurer le nombre de publications/mails à envoyer pour le satisfaire.

Pour vraiment personnifier ce client idéal, j’adore rajouter une photo sur le CV.

J’applique même un âge et je le nomme.
C’est plus facile par la suite de « converser » avec lui (ou elle)

Attention que le prénom corresponde bien à l’âge que tu lui as donné.
Il est très difficile de trouver des Germaine de 25 ans ou des Kévin de 70 ans.

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Dans ce CV, tu peux aussi noter les sentiments que cette personne éprouve face à ses frustrations ou ses envies, ça te permettra d’avoir des arguments plus efficaces quand tu vas lui parler.

En fait je me sers de ce CV quand je dois écrrire un article : je survole la fiche du Persona auquel je m’adresse.
Pour moi, j’ai fait trois types de clients… et ça suffit largement.

Si pour toi c’est encore un peu flou, imagine que tu as, sur tes réseaux sociaux, des messages d’hommes politiques.
Pour la plupart d’entre eux, tu vas juste scroller, sans même regarder ce qu’ils veulent te dire.
Pourquoi ?
Parce que tout naturellement, tu ne te sens pas concerné par leur discours. Tu comprends grosso modo ce qu’ils envisagent de dire et tu ne veux surtout pas les écouter.
En fait ton cerveau va tout simplement les zapper parce qu’il sait que tu n’as pas besoin de ces informations pour vivre (ou que ça va t’énerver).

Imagine que tu es exactement la même chose si une personne fait défiler son mur Facebook et voit un mot, une photo qui lui parle. Elle va s’arrêter et lire ton poste.
Si, au contraire, tu ne transmets pas les bonnes formules, le bon propos, elle va continuer à scroller sur Facebook.
Tu auras perdu son attention.

En ayant fait ce faux CV et en t’adressant exclusivement à une, deux ou trois Personas, tu vas avoir des contenus ciblés, personnalisés pour ton type de client.

Les seules organismes qui peuvent s’adresser un public « tout le monde » sont les grandes surfaces, effectivement, quand tu vas faire tes courses tu te déplaces souvent dans le magasin le plus proche, celui ou tu as tes habitudes.

Toutes les marques de téléphones, de télévisions, de chaises s’adressent à des publics spécifiques.

Quand tu vas chez IKEA tu ne vas pas acheter la même chaise que chez Roche et Bobois.
C’est exactement la pareil quand tu parles à tes futurs clients.

Tu peux aussi faire des expérimentations de post pour valider ou non un type de clientèle.

Un Persona n’est jamais figé.
C’est quelque chose qui va évoluer dans le temps.

Si tu ne le découvres pas là, maintenant, cherche à viser quelqu’un de particulier.
Fais des essais.
Découvre qui a besoin de toi.

Tu finiras par trouver la personne parfaite qui va acheter tes services.

N’oublie pas également d’aller à la rencontre de ton type de client idéal.
En discutant et échangeant avec lui, il te donnera des informations précieuses :

  • Comment il fonctionne ?
  • Qu’est-ce qu’il dit/pense de ton métier ?
  • Quel est son principal besoin du moment ?
Comment créer sa fiche client idéal
Dans ce fameux CV de ton Persona, j’ajoute aussi une phrase pour connaître son avis sur ce que je peux lui apporter.

Quelle est sa vision de ma profession ?

Par exemple, un de mes Persona voudrait se faire accompagner, mais a peur que ce soit trop cher.
Du coup je suis prête pour ce genre d’argumentation :
un coaching, c’est un investissement sur sa société, son avenir s’il souhaite rester indépendant.
Un capital pour performer plus.

Très très loin de la dépense « coup de cœur ».

Un peu comme quand tu achètes un nouveau logiciel ou un nouveau téléphone, c’est vraiment parce que tu en as besoin et que ça va te permettre de travailler mieux.

Le fait d’avoir verbalisé le besoin et la frustration de ma cliente va me permettre de trouver les arguments pour qu’elle vienne vers moi (oui, j’ai fait des Personas féminins… et ça ne m’empêche pas de travailler avec des hommes)

Comment concevoir ton personnel marketing et comment l’utiliser pour viser ce fameux client cible ?

Tu peux établir dès maintenant ta fiche Persona sous forme de CV.
Lui donner un nom, un age, une profession, un visage.

Lister ses besoins, ses frustrations et ses envies.

Connaître sur quel canal d’acquisition il te trouve

Quel type de clientèle (d’après Eugène) c’est : ce prospect sera-t-il prêt à dépenser tout de suite ou pas ?

Un Persona n’est jamais figé.

Tu pourras le faire évoluer dans le temps au fur et à mesure que tu développes tes services.

Si tu as besoin, je peux t’aider à trouver tes personas.

À quoi sert le Persona en marketing, ce fameux client cible ?

À quoi sert le Persona en marketing, ce fameux client cible ?

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Qu’est-ce qu’un Persona en marketi<iframe frameborder=”0″ loading=”lazy” id=”ausha-eGwq” height=”220″ style=”border: none; width:100%; height:220px” src=”https://player.ausha.co/index.html?showId=b7g2eF6eWEj1&color=%23ff7f50&podcastId=yvdlnu2LJMMO&v=3&playerId=ausha-eGwq”></iframe><script src=”https://player.ausha.co/ausha-player.js”></script> ng ?
Et pourquoi est-ce si important d’en avoir un ?
En marketing on appelle ça un « persona », dans le langage courant on appelle ça plutôt un client cible.

Souvent, on se dit « mon client cible je le connais, pas la peine d’en faire un portrait-robot »
Et pourtant c’est une grossière erreur, car on a besoin de ce papier pour se remémorer, tout le temps, à qui l’on s’adresse et pourquoi on s’adresse à cette personne.

Le client cible ou le « buyer Persona » est la personne qui va t’acheter tes prestations

On en a souvent besoin pour ce qu’on appelle du marketing de contenu.

Le marketing de contenu qu’est-ce que c’est ?

Le marketing de contenu c’est tout ce que tu vas dire, exprimer, comme idée dans tes mails, écrire sur tes réseaux sociaux, publicité, etc.
Grâce aux contenus que tu vas créer, tu vas attirer les personnes qui sont le plus susceptibles d’acheter tes services.
C’est pour ça que, mieux tu connais ton client cible, plus facilement tu seras susceptible de lui donner ce qu’il attend.
Mieux tu le connaîtras, plus facilement tu pourras lui parler.

Tu as envie de faire un grand discours ?
Est-ce que tu vas aller sur un rocher devant l’océan et parler au million de moules qui sont là en train de se faire masser par le ressac ?
Où est-ce que tu vas aller à un endroit où l’on pourra t’écouter ?
Un endroit où tu es sûr de toucher ton client cible ?

Tout simplement, en créant ton Persona, en créant cette fiche-là, tu vas mettre de côté tout ce que ton client veut entendre.
Tu vas aussi comprendre quel canal d’acquisition il va utiliser et rentrer en contact avec lui.
Tu n’utilises pas le même canal d’acquisition pour un adolescent ou une personne plus âgée.

Qu’est-ce qu’un canal d’acquisition ?

Un canal d’acquisition c’est la manière dont tu vas « acquérir » des clients, par où tu vas passer pour te faire connaître, te faire comprendre : réseaux sociaux ? Journal ? Bouche à oreille ?
Je parle notamment des différents réseaux sociaux et de leur clientèle dans un autre article.

Quel réseau social pour votre business

Comment créer ton persona, la fiche qui va le représenter ?

Plusieurs manières existent pour créer cette fiche-là.

Certains ont besoin de données démographiques :
Lorsque tu penses à ton public cible, tu vas peut-être avoir dans l’idée un âge, une fonction, un type de revenus ou peut-être, lex données géographiques de la personne.
Ça te permet d’avoir un ensemble cohérent des cibles à qui tu parles.

Tu peux aussi avoir des données plus spécifiques : si tu vends à des entreprises, qui est la personne dans cette entreprise qui achète ? Ou qui a le pouvoir d’achat ?

Dans une famille, si tu t’adresses à un enfant, est-ce que c’est l’enfant qui va être décisionnaire de l’achat ou ça va être l’un des parents ? Et quels parents faut-il séduire ?

Là, on reste dans des données démographiques.
Le genre de données que les réseaux sociaux et le web adorent (si un jour tu comptes faire de la pub ces données seront très importantes).

Attention, ton public cible n’est pas la même chose que le marché cible.
Le marché et l’endroit dans lequel tu vas vendre tes services, là où il y a tes concurrents, le même domaine.
Le client cible c’est vraiment la personne qui va décider de l’achat.

Grâce à la définition de ton public cible, tu vas pouvoir trouver le ton que tu comptes employer.

Le ton, le visuel, les mots que tu vas utiliser sont très importants.
Tu vois bien, entre un visuel de chez Lidl ou un visuel de chez Monoprix, on n’est pas tout à fait dans le même registre. Ils ne s’adressent pas aux mêmes personnes.

Créer ton client idéal c’est aussi trouver le style graphique qui va lui parler.

Programme d’accompagnement pour booster sa société

Si tu as du mal à trouver ton public cible,

si tu ne penses pas être assez spécifique il existe un moyen simple de savoir à qui tu t’adresses.

Je ne conseille JAMAIS de regarder la concurrence pour savoir où on en est.
C’est néfaste pour notre estime personnelle, car la personne en face fait les choses différemment de nous.
Par contre si tu as du mal à cibler ton public là je te conseille vivement d’aller voir ce que fait la concurrence.
Tu vas voir à quel type de personne elle s’adresse.
Tu vas aller regarder comment elle parle à son Persona.
Tu vas aller voir quel visuel elle utilise.

Ce que tu vas faire est ce qu’on appelle un benchmark en marketing : regarder qui communique et comment.
Le but n’est pas de t’inspirer de ce ta concurrence fait, mais de voir comment elle le fait.

En plus, tu peux remarquer que tes concurrents ne comblent pas certains domaines, certaines demandes.
Et là tu trouves une « niche »
Une niche c’est un public spécifique qui va être en demande de réponses spécifiques.

Par exemple, il existe des éducateurs canins.
Terme très générique.
Tu peux décider de cibler un peu plus ton public en disant « je suis éducateur canin de gros chiens ». Tu as vu lors de l’analyse concurrentielle qu’il y avait plus de problèmes avec les gros chiens, tu te niches dans ce domaine-là (sans jeu de mots).

Tu veux te spécialiser encore plus ?
Tu vas rentrer dans une niche qui ne parle que de lévrier parce que tu t’es aperçu que les maîtres de ce genre de chien étaient en demande d’éducation et prête à payer.
L’étude de la concurrence a donc été la très bénéfique puisque tu as repéré une niche porteuse.

Pour trouver ton client cible, tu peux aussi aller scanner les réseaux sociaux.

Tu vas passer à la loupe le réseau social le plus pertinent pour ton Persona :

  • Où se trouve ton public cible
  • Sur quel réseau social interagit-il le plus ?
  • Plutôt dans des groupes ? Plutôt dans des forums ?
  • Sur Facebook, Twitter ou sur LinkedIn ?
Cela va te permettre de travailler sur canal d’acquisition client spécifique et de te concentrer dessus.

Tu peux aussi regarder quel type de personnes interagit régulièrement avec tes postes.
Quel est le contenu qui suscite le plus de réactions ?

Même si la publicité nous rabâche les oreilles que nous sommes tous uniques, nous avons beaucoup de points communs les uns les autres.
Ce qui veut dire que la personne qui va interagir avec toi sera une sorte de client cible. Tu vas retrouver certains points communs avec d’autres clients potentiels.

  • Comment accrocher ton public cible ?
  • Maintenant que tu sais qui ils sont, tu peux définir ce qu’ils veulent, ce qu’ils attendent.
  • Qu’est-ce qui va les motiver à acheter ?
  • Quels sont leurs besoins spécifiques ?

 

Comment trouver ton client cible, ton Persona marketing ?

Benchmark des concurrents : où est leur marché ? Où est ton marché ?
Analyse les données démographiques pour savoir à qui tu t’adresses : âge, sexe, lieu de vie, type de boulot…
Regarde ce qui se passe sur les réseaux sociaux.

Tu peux déjà identifier mieux ton client cible et tu peux répondre à ses besoins et ses objectifs.

Personnellement, j’établis une sorte de CV de mon client cible. Je lui donne même un petit nom pour pouvoir mieux lui parler.
Je t’explique ça dans cet autre article.

Si tu as besoin d’accompagnement, contacte moi par ici.
Premier rendez-vous totalement gratuit.

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