Sur LinkedIn on a parfois l’impression que les entrepreneurs ne doutent jamais.
Pour ma part,
depuis 15 ans,
je n’ai jamais arrêter de douter.
Ça peut te faire peur… mais c’est au contraire très bénéfique !
Il y a les doutes les plus “classiques” de l’entrepreneuriat :
❌ Doute pour trouver des clients
❌ doute sur mes capacités
❌ doute sur les rentrées d’argent
Et puis ceux qui surgissent au gré du temps, des doutes plus personnels
❌ doute sur un client avec qui ça se passe mal (savoir écouter ma petite voix intérieure)
❌ doutes sur mon associé (le “divorce” a été difficile)
❌ doute quand je me fais rouler dans la farine par une “amie” (oui je suis naïve)
Les questions qu’on se pose à ce moment-là, peuvent nous déstabiliser.
Car quand je doute,
le stress commence à prendre la barre
et je prends l’eau de toute part !
C’est pour cela que je les appelle mes moments de doutes, mes “Cap Horn”
🌊 une vraie tempête intérieure (dois-je continuer s’il y a tant de stress ?)
🌊 des mauvaises décisions à la pelle (forcément ça s’enchaîne)
🌊 de la mauvaise humeur visible (désolée pour celles et ceux qui en ont pâtis)
Alors j’ai mis des “barrières” en place pour que tous ces doutes ne m’envahissent pas trop
Une sorte de pilotage automatique.
✅ les amis sûrs
Celles et ceux qui sont dans un business et qui comprennent mes problématiques, peu importe leurs métiers.
C’est un regard extérieur sur ma problématique qui va me permettre de remettre les pieds sur terre. (ça peut aussi être un coach, mentor ou un thérapeute)
✅ l’hygiène de vie.
Ça a l’air bateau, mais prendre soin de soi, de son sommeil, ses repas, sa forme, c’est essentiel.
C’est souvent quand on est à fond (boulot, recherche client…) qu’on se met à douter car les résultats ne sont pas immédiats.
✅ C’est la vie.
Dès que j’ai compris que je n’étais pas une “guerrière” à toute épreuve, j’ai assumé mes doutes.
Ils font partie de la vie, comme la mort ou le changement perpétuel, rien n’est jamais figé et les doutes vont revenir. À moi de ne pas leur laisser trop de place
✅ un but clair est précis.
Depuis que je sais où je vais, de manière claire, je doute moins sur les décisions que je prends.
J’arrive à écarter les mauvais choix et foncer vers mes objectifs (pro & perso).
Malgré ces garde-fous,
il m’arrive, et m’arrivera toujours, de douter.
Je dois juste apprendre à identifier quand ça tourne au « cap Horn » avant de me faire submerger.
Si tu cherches à atteindre tes objectifs,
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